Dans ce cas je pressens que des éléments physiques comme vitesse de transmission, amplitude, fréquence(?) des signaux, sont des valeurs importantes...
Suivant un raisonnement franchement empirique, un ignorant comme moi peut se dire qu'il y a une volonté délibéré d'agencer la répétition des messages en 2 groupes de 2, plutôt qu'en 1 groupe de 4, ou de supprimer les "Idle packets". La question est de comprendre pourquoi. Quelle en est la raison?
La question est de comprendre pourquoi la NMRA et Mr Lenz en 1994 ont préféré une répétition par 1 groupe de 4? A quoi servent ces "IDLE packets"? J'en devine l'intérêt pour l'apport de clarté dans la lecture de la chaine de transmission, quel en est l'intérêt en termes d'efficacité et de réception?
Passaient-ils par des méthodes identiques de programmation? Disposaient ils des mêmes composants?
J'observe qu'ESU ne touche qu'à des facteurs de sécurité ( répétition, espaces vides) et se gardent fort heureusement de toucher à la structure interne du packet. Quels remèdes physiques a t'on trouver chez ESU pour y suppléer ?
Y aurait il un lien entre l'absence de paquets vides et la répétition 2X2 (au lieu de 1X4)? Qu'est ce qu'on gagne en remplaçant du vide par un contenu? Qu'est ce qu'on perd?
Quel serait l'avantage de supprimer les paquets vides,gain de temps?
Pour l'instant je ne comprends qu'une chose: ESU interprètent à leur manière les normes de language définies par Mr Lenz et la NMRA.
Après tout ne dit-on pas que la norme DCC est évolutive, faut-il y chercher la piste d'une certaine marge de tolérance?